Bonjour.
Et pour la chanson (de merde) en lien avec le titre : de rien.
En ce moment, j’ai envie d’écrire. Vous avez pu le constater via les trois articles que j’ai publié récemment et que je vous invite à aller lire si ce n’est déjà fait, le premier ("Ode à la daube") m’ayant servi de remise en marche, et les deux autres étant quelque chose de plus concret, nécessitant plus que de l’envie pour faire quelque chose de correct et pour rendre honneur aux artistes abordés.
A la suite de la création de ces “Billet-dessiné - Épisode 1 : Sourya SIHACHAKR” et “Billet-rédigé - Épisode 1 : Rozenn ILLIANO”, l’idée d’autres catégories a bien évidemment germé dans le champ en friche qu’est mon cerveau (d’ailleurs un brouillon pour le premier post d’une nouvelle catégorie est en cours de rédaction).
Mais il faut savoir alterner entre post exutoire et post à intérêt / ludique, ne serait-ce que pour pouvoir assouvir mes différentes envies d’écriture.
Et après avoir fait deux billets dans lesquels j’ai effectué des recherches, ai travaillé mes phrases et mes tournures pour vous donner envie de découvrir ces talents, il est temps pour moi de faire un post inutile. Le voici.
Enfin, j’espère qu’il ne le sera pas, inutile.
Parce que le sujet que je voudrais aborder ici est un problème que je rencontre et qui entache fortement le “travail” de Votre Serviteur.
Le manque de retour sur le travail fourni.
Oui, je sais, vaste sujet que voici et qui, sans aucun cadre défini, peut vite partir au monologue psychologique, philosophique voire métaphysique si on pousse le bouchon aussi loin que Maurice.
Donc je vais rentrer dans le vif du sujet, dans l’aspect de ce problème qui me démotive à tenir un rythme régulier sur ce blog. Car même si celles et ceux qui me connaissent savent que j’ai tellement de hobbies que papillonner de l’un à l’autre du jour au lendemain est une de mes spécialités, il n’en reste pas moins que certains facteurs extérieurs viennent aussi noyer l'élan de motivation que j’arrive parfois à faire flotter à la surface.
Mais remettons les choses dans leur contexte. Je l’ai dit et le répète une fois de plus, si j’écris c’est principalement pour moi, pour assouvir un besoin. Mais l’intérêt aussi d’être créatif, c’est d’avoir envie de partager ce qu’on fait avec les autres, essayer de propager son engouement pour quelque chose vers autrui. Et si je rédige ces lignes (ainsi que les précédentes) sur un blog public que je mets en ligne et que je m’efforce de rendre joli, c’est plus pour le côté “partage” que pour mon besoin d’écrire.
Donc, la première étape est d’abord de remercier toutes les personnes qui prennent le temps de lire ces lignes et les précédentes ! Je sais qu’il y en a et je vous en remercie.
De plus, les deux derniers articles plus sérieux ont été relayés et partagés via les réseaux sociaux par les artistes concernés (énorme merci à eux !), et le nombre de visiteurs sur le blog a augmenté durant les quelques jours qui ont suivi les divers partages.
Malheureusement, à l’exception de quelques personnes que je ne citerais pas pour ne pas les afficher sous le spotlight des Tropiques (coucou Gilbert), j’ai très peu de retour sur le contenu de ce que j’écris. Je ne sais pas si :
vous avez réellement lu mes articles ou si vous avez juste cliqué pour me faire plaisir et augmenter mon nombre de vues
vous avez lu et aimé
vous avez lu et pas aimé
vous avez lu, aimé ou pas aimé et avez des suggestions d’améliorations ou de sujets à aborder
vous avez commencé à lire et avez arrêté pour une quelconque raison (trop long, pas le temps, pas assez lisible, style d’écriture qui ne vous correspond pas, etc…)
les artistes découverts vous ont plu
mes posts plus légers ont un quelconque intérêt pour quelqu’un d’autre que moi, et si je dois continuer d’en publier ou si je les garde pour moi
J’ai cru comprendre que sur le nouvel hébergeur chez lequel j’ai migré (encore une fois) mon blog, il faut s’inscrire pour pouvoir laisser un commentaire. Je vous l’accorde, c’est chiant. Mais il vous reste toujours la possibilité d’en laisser un sous mon partage via les réseaux sociaux, ou de m’envoyer un petit MP si vous ne voulez pas vous étaler en public.
D’ailleurs, voilà un autre exemple : personne ne m’a dit ce qu’il pensait du nouveau site, s’il était joli ou pas, pratique ou pas, lisible correctement sur mobile ou pas. Et pour être honnête, c’est plutôt frustrant...
Après, ma manière de partager l’info lors de nouvelle parution n’est sûrement pas optimale non plus : je publie l’article, le partage sur Facebook et Twitter, fais une ou deux piqûres de rappel dans les jours qui suivent, puis arrête d’en parler jusqu’au prochain post pour ne pas passer pour un gros forceur.
Alors attention, ne voyez pas cet écrit comme une manière détournée de vous faire la morale, de vous rabrouer ou de vous faire culpabiliser. Je suis Votre Serviteur et non l’inverse. C’est uniquement dans un but quasi éducatif que je rédige ces lignes, car pour en avoir discuté avec quelques personnes, ce manque de retour nous est vraiment préjudiciable alors qu’il ne prouve pas forcément un manque d’intérêt de la part du public. Il est plus le reflet d’une majorité silencieuse, ou d’un fonctionnement des réseaux sociaux et de la gestion de l’information de nos jours. Je le comprends bien. J’en fais très souvent partie d’ailleurs, de cette majorité silencieuse. Mais depuis quelques temps justement, lorsque d’autres font la même chose que moi sur les réseaux sociaux, au lieu de simplement cliquer sur “like”, je prends le temps de laisser un petit commentaire, voire de partager avec une petite phrase. J’espère qu’en faisant ça, je peux aider et apporter un peu de visibilité à des choses/gens qui pour moi méritent d’être bien plus visibles.
Sur ce, n'oubliez pas de liker, de vous abonner, de partager, de mettre un pouce bleu ! Merci à tous à les tippeurs et celles et ceux qui regardent des vidéos publicitaires sur Utip, n'oubliez pas la boutique de produits dérivés sur le site, c'est grâce à vous que je fais vivre ma chaîne et que je ne vis pas sous les ponts.
...
J'déconne.
Be seeing you.
Number 6